Les pilotes qui remporteront les 24h SPA EWC Motos 2022 succéderont à Sébastien Gimbert, dernier vainqueur en date de l’épreuve en 2003. Son triomphe, le Français s’en souvient « comme si c’était hier », raconte-t-il près de vingt ans plus tard. « Gagner à Spa, sur ce circuit emblématique qui me faisait rêver depuis que j’étais gosse, est une émotion inoubliable. »
L’ancien pilote de Grand Prix et d’Endurance ne sera pas au départ, le 4 juin prochain. Mais il sait déjà que la fête sera belle à Spa-Francorchamps. « Les pilotes vont se régaler, l’endroit est magnifique, les gens sont adorables et ce sont de vrais fans de moto », explique-t-il. Et l’attente, longue de presque deux décennies, devrait rendre ces retrouvailles encore plus magiques.
Magique, un mot finalement à l’image du tracé belge. « Je ne connais aucun circuit qui offre autant de sensation pour un pilote, poursuit Sébastien Gimbert. Qu’il s’agisse du Raidillon ou des longs virages qui passent à bloc plein angle, c’est vraiment un truc de fou que tu ne trouves nulle part ailleurs !
La piste est extraordinaire, avec un très bon grip qui permet de prendre beaucoup d’angle. Et la nuit, où il fait très sombre, quand tu te retrouves seul dans la forêt à plus de 250 km/h, c’est une sensation unique ! »
Quel conseil donnerait-il à ceux qui tenteront d’ajouter leur nom au palmarès de Spa-Francorchamps, dans quelques jours ? « Il faut vraiment être vigilant avec la météo, souvent capricieuse, pointe-t-il. Le circuit est tellement long qu’il peut pleuvoir à un endroit et pas à un autre. » Les candidats au trône belge sont prévenus !
L’ancien pilote de Grand Prix et d’Endurance ne sera pas au départ, le 4 juin prochain. Mais il sait déjà que la fête sera belle à Spa-Francorchamps. « Les pilotes vont se régaler, l’endroit est magnifique, les gens sont adorables et ce sont de vrais fans de moto », explique-t-il. Et l’attente, longue de presque deux décennies, devrait rendre ces retrouvailles encore plus magiques.
Magique, un mot finalement à l’image du tracé belge. « Je ne connais aucun circuit qui offre autant de sensation pour un pilote, poursuit Sébastien Gimbert. Qu’il s’agisse du Raidillon ou des longs virages qui passent à bloc plein angle, c’est vraiment un truc de fou que tu ne trouves nulle part ailleurs !
La piste est extraordinaire, avec un très bon grip qui permet de prendre beaucoup d’angle. Et la nuit, où il fait très sombre, quand tu te retrouves seul dans la forêt à plus de 250 km/h, c’est une sensation unique ! »
Quel conseil donnerait-il à ceux qui tenteront d’ajouter leur nom au palmarès de Spa-Francorchamps, dans quelques jours ? « Il faut vraiment être vigilant avec la météo, souvent capricieuse, pointe-t-il. Le circuit est tellement long qu’il peut pleuvoir à un endroit et pas à un autre. » Les candidats au trône belge sont prévenus !
